Le bleu poitrine blanche est le résultat de la perte complète de psittacine. Cette dernière peu varier du jaune au rouge suivant la concentration dans les barbes des plumes. Plus il y a de psittacine plus nous nous dirigeons vers le rouge. Chez la splendide, la couleur sauvage présente ainsi du rouge à la poitrine et du jaune sur le ventre. Suite à la perte complète de psittacine le jaune et le rouge deviennet blanc tant à la poitrine qu'au ventre.

Il reste ensuite à expliquer comment le vert se transforme en bleu. Pour celà il faut comprendre un peu mieux la structure d'une plume. Celle-ci est constituées de barbes et de barbules. Si l'on coupe une barbe transversallement, et que nous étudions tout celà au microscope, nous verrons apparaître les choses suivantes. Tout d'abord une première zone extérieure qui se nomme cortex et qui, à la base, est remplie de psittacine jaune. Ensuite, nous trouvons une zone spongieuse qui est composée de minuscules cylindres creux. Cette zone spongieuse laisse passer les ondes de lumières bleues et violettes, alors que toutes les autres ondes de lumière, ou couleurs, sont absorbées par la mélanine noire de la zone médullaire. Enfin, nous avons encore les vacuoles, elles ont une fonction de réflexion. Le centre ou zone médullaire contient l'eumélanine noire regroupée autour des vacuoles.
Une plume apparaît verte, en partie parce que la lumière jaune est réfléchie par le cortex et en partie parce que la lumière bleue est réfléchie par les vacuoles et à travers la zone spongieuse. La combinaison de ces ondes jaunes et de ces ondes bleues donne une vision de vert. Si le cortex perd sa psittacine, il ne reste plus, dès lors, que la réflexion des ondes bleues et violettes. C'est pourquoi le vert se transforme en bleu chez notre perruche splendide.
Au niveau génétique, le bleu poitrine blanche est récessif par rapport à la forme nominale. Si bien que les deux parents devront être porteur du gène bleu poitrine blanche pour avoir des jeunes de cette mutation. L'idéal étant d'accoupler un bleu poitrine blanche avec une autre couleur porteuse de bleu poitrine blanche.
Il reste ensuite à expliquer comment le vert se transforme en bleu. Pour celà il faut comprendre un peu mieux la structure d'une plume. Celle-ci est constituées de barbes et de barbules. Si l'on coupe une barbe transversallement, et que nous étudions tout celà au microscope, nous verrons apparaître les choses suivantes. Tout d'abord une première zone extérieure qui se nomme cortex et qui, à la base, est remplie de psittacine jaune. Ensuite, nous trouvons une zone spongieuse qui est composée de minuscules cylindres creux. Cette zone spongieuse laisse passer les ondes de lumières bleues et violettes, alors que toutes les autres ondes de lumière, ou couleurs, sont absorbées par la mélanine noire de la zone médullaire. Enfin, nous avons encore les vacuoles, elles ont une fonction de réflexion. Le centre ou zone médullaire contient l'eumélanine noire regroupée autour des vacuoles.
Une plume apparaît verte, en partie parce que la lumière jaune est réfléchie par le cortex et en partie parce que la lumière bleue est réfléchie par les vacuoles et à travers la zone spongieuse. La combinaison de ces ondes jaunes et de ces ondes bleues donne une vision de vert. Si le cortex perd sa psittacine, il ne reste plus, dès lors, que la réflexion des ondes bleues et violettes. C'est pourquoi le vert se transforme en bleu chez notre perruche splendide.
Au niveau génétique, le bleu poitrine blanche est récessif par rapport à la forme nominale. Si bien que les deux parents devront être porteur du gène bleu poitrine blanche pour avoir des jeunes de cette mutation. L'idéal étant d'accoupler un bleu poitrine blanche avec une autre couleur porteuse de bleu poitrine blanche.
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